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le Cocon de lectures érotiques
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Un, deux, trois - Partie 4
Charly échange un regard avec Théo, une nouvelle complicité silencieuse entre eux.
— Prends-la comme tu veux maintenant, murmure-t-il.
Je frémis.
Un, deux, trois - Partie 3
Pendant que Théo fouille dans les poches de son manteau, je fixe la queue de Charly. Impossible de détourner les yeux. Il me lit sans difficulté.
— Qu’est-ce que tu attends pour la remettre dans ta bouche ? Regarde-toi… tu en meurs d’envie. Tu baves.
Je le provoque d’un sourire.
— J’attends que tu me le demandes.
— Suce-moi !
Son ton sans détour me fait frissonner. J’aime cette autorité brute, ce désir assumé.
Un, deux, trois - Partie 2
Derrière moi, Théo est toujours accroché à mes hanches. Il m’embrasse le cou pendant que Charly s’empare de ma bouche. Mon corps fond sous leurs caresses, sous leurs baisers, et dans mon ventre, ça bouillonne, ça s’agite, ça réclame…
Le cours d’A - Partie 5
J’inspire profondément et décide de jouer le jeu. L’atmosphère me rassure : il n’y a ni jugement ni malaise, seulement une curiosité bienveillante. Cette sensation d’espace où chacun peut s’exprimer librement m’aide à franchir le pas. D’un geste rapide, j’enlève mes vêtements, ne gardant que mon caleçon. Une dernière barrière entre moi et le regard des autres. Je sais qu’il devra disparaître lui aussi, mais pas tout de suite. J’attends le dernier moment.
Le cours d’A - Partie 4
Je pensais voir toutes les mains de l’assemblée se lever, comme des élèves impatients de répondre à une question attendue. Mais au lieu de ça, je fais face à des regards hésitants, des hommes réservés, peut-être intimidés par la situation ou simplement peu enclins à se porter volontaires en public. Selon le règlement, la participation à la partie pratique n’est pas obligatoire. Pour l’instant, cela me convient, je préfère rester en observateur même si mon corps brule d’envie de mettre en application tout ce qu’elle vient de nous enseigner.
Le cours d’A - Partie 3
Lilou tient fermement le gode entre ses mains. Avec une précision presque rituelle, elle le badigeonne de lubrifiant, insistant sur l'importance de ne jamais en manquer, que ce soit sur l'anus ou sur la queue. Elle branle le silicone avec application, le faisant briller sous la lumière de la salle. Son sérieux, mêlé à cette étincelle de passion que je devine dans ses yeux, me fait frissonner. Ce petit bout de femme en tailleur, si professionnelle dans son allure, est en train de nous apprendre, depuis une heure, à "baiser des culs". Si on m’avait dit ça dans un autre contexte, je n’aurais pas pu m’empêcher de rire.
Ce cher Robert - Partie 5
Sans hésiter, il m’entoure de ses bras et me serre contre lui, avant de m’embrasser avec une ardeur que je ne m’attendais pas à ressentir si tôt. Ses lèvres trouvent les miennes, et aussitôt, un frisson de désir m’envahit. Ce sentiment de retomber en adolescence, ce vertige si particulier, me prend tout entière. Je m’étonne de retrouver cette sensation presque oubliée, celle d’un élan irréfléchi pour un inconnu. Il prend ma main, entrelace ses doigts aux miens, et on commence à marcher côte à côte dans la nuit. Il m’indique qu’il habite tout près, à deux pas du bar.
Ce cher Robert - Partie 4
Je m’installe en face de lui, posant ma veste et mon sac sur la banquette à côté de moi, un peu comme si je prenais mes marques. Sans perdre de temps, je fais un signe au serveur et commande deux bières artisanales. Il m'avait confié, dans nos messages, que c'était son péché mignon, et je note avec satisfaction son regard, légèrement surpris, mais visiblement amusé par mon initiative. Il lève un sourcil, sourire en coin, comme s’il n’avait pas l’habitude qu’on prenne les devants…
Ce cher Robert - Partie 3
En lisant ces mots, je souris, un sourire sincère que je n’ai pas eu depuis longtemps. Finalement, pas de grands discours ni de longues hésitations, juste un élan simple, brut, presque évident. Ça me rassure et m’excite tout à la fois. Au fond, pourquoi rendre les choses compliquées ? Si ça doit marcher, autant plonger directement. Alors, on se tait pour le reste de la journée, chacun de notre côté, comme si on avait peur de brusquer cet équilibre tout juste trouvé, de déranger cette décision qui semble suspendue au-dessus de nous. Je pense à lui par moments, entre deux réunions, en vérifiant l’heure. Une légère excitation, un peu comme avant un premier jour d’école.
Le jeu du train - Claire
Je regarde Émilie quitter le wagon, attendant qu’elle disparaisse complètement de mon champ de vision avant de plonger mon regard à nouveau dans le sien. Cet homme, qui m’a bloquée contre le mur, n’a jamais cessé de me fixer. Son regard brûlant me transperce de part en part ; je me sens paralysée par le désir, comme figée dans cet instant.
— Alors, Claire ? murmure-t-il, approchant sa bouche de mon oreille avant de mordiller délicatement mon lobe.
— Alors… quoi ? Je parviens à peine à murmurer, ma voix tremblante.
— Cap… ou pas cap ?
Le jeu du train - Émilie
Je traverse les wagons d’un pas rapide, presque frénétique, mon cœur battant de plus en plus fort. Je repasse devant l’homme d’affaires, toujours absorbé par son écran, indifférent à ce qui se passe autour de lui. Mes pensées s'accélèrent. Et s'il était parti ? S'il avait quitté le train avant que je ne revienne ? Ça serait tellement dommage. Il me plaisait vraiment, avec son visage, son attitude désinvolte, sa musique qui le coupait du monde.
Je presse le pas, bouscule une femme sans faire exprès, m'excusant à peine. Enfin, j'ouvre la porte du sas et entre dans le wagon. Il est là, à la même place, et le fauteuil en face de lui est libre. Je m’assieds, essoufflée. Il enlève ses écouteurs, me dévisage, visiblement surpris, mais je vois dans ses yeux qu'il est heureux de me revoir.
Le jeu du train - compartiment 4 et demi
Claire raconte alors son aventure, détaillant l’effet qu’elle avait réussi à produire sur son voisin, son émoi et la frustration douce qui l’accompagnait. Elle semble s’amuser à un point qu’Émilie n’avait jamais imaginé, la voyant plus épanouie et joueuse que jamais.
— Qu’est-ce qu’on fait ? On continue ? Je descends dans 20 minutes, dit Claire avec malice.
— Bien sûr qu’on continue ! Tu n’imagines même pas tout ce qu’il peut encore se passer en 20 minutes, répond Émilie avec un sourire complice.
Juste au moment où elles s’apprêtaient à changer de rame, un homme pose la main sur l’épaule de Claire. Elle se tourne, le regarde et se fige instantanément.
Le jeu du train - 4ème compartiment
Les voici embarquées dans le wagon rouge de la première classe, ajoutant un nouvel interdit à la liste. Plus elles en bravent et plus cela les excite. Quelle est la suite ? Émilie en veut plus, l’expérience qu’elle vient de vivre lui confirme. Mais c’est à son tour de donner un gage. Elle observe son environnement à la recherche d’une idée, d’une inspiration.
Le wagon est silencieux, presque désert. Les quelques hommes présents sont plus âgés qu’elles, leurs costumes bien taillés, tout en eux respire l’assurance, une vie rangée. Mais pour Émilie, cette façade de sérieux est précisément ce qui rend l’idée de les provoquer irrésistible.
Le jeu du train - 3ème compartiment
Ce défi est bien plus intéressant que les précédents. Il ne s’agit plus de simples mots, mais de créer une tension palpable, presque intime. Même si l’idée ne l’effraie pas, Émilie inspire profondément, cherchant du courage...
Celui qui cherchait du travail - Partie 7
Des pas se rapprochent et Victoire réagit immédiatement. Elle me prend par la main et m’entraîne rapidement derrière la porte de son bureau. Nous nous réfugions dans l’ombre, pressés l’un contre l’autre, nos respirations s’entremêlant dans le silence. Mon cœur bat fort, chaque pulsation accentuée par la peur et la proximité de Victoire. Trois coups légers résonnent contre la porte.
— Victoire ? appelle une voix masculine.
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