Celui que j’appelle Papy

Tu es arrivé avant moi. On est hors de la ville, l’environnement est calme et plutôt agréable. Il fait déjà très chaud pour un mois de mai, on se croirait en plein été. J’ai une petite robe légère et fleurie, j’allume une cigarette pour me donner une contenance et je t’attends devant le bâtiment. Les émotions sont si envahissantes dans ces moment-là : excitation, euphorie, enthousiasme, ébullition… Te voilà, enfin !

Inscrivez-vous pour lire cet article
S’inscrire
Précédent
Précédent

Celui qui était celle

Suivant
Suivant

Celui qui était gourmand