Depuis cette nuit
NOUVEAUTE
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NOUVEAUTE ♡
L’histoire que vous allez lire a rencontré un tel succès qu’elle s’est transformée en roman…
[Attention, il s’agit d’un récit à caractère érotique et pornographique. Ce récit peut heurter le jeune public ou les personnes sensibles.]
Partie 1 : A table !
Ils sont huit, entièrement nus, assis autour d’une grande table rectangulaire couverte d’une nappe blanche qui descend presque jusqu’au sol. Des assiettes fleuries égaient la surface immaculée comme de vrais bouquets, les entrées viennent juste d’être servies. Je n’ai ni assiette, ni couverts, et pourtant j’ai extrêmement faim. Je suis debout, je baisse les yeux : moi aussi je suis nue. Je les regarde, ils commencent à manger quand Étienne m’adresse la parole :
— Léna, qu’est-ce que tu attends ? À table, dépêche-toi !
Je m’approche, soulève la nappe et je me glisse sous la table. Que le jeu commence !
À genoux, au centre, le cou tordu et la tête penchée, la table n’est pas assez haute pour me permettre une position confortable. Je regarde le bas de ces corps que je ne connais pas, sauf celui d’Étienne. Je suis entourée de sexes. Une ronde de perversion. Une queue plus grosse que les autres repose lourdement sur l’assise de sa chaise, une autre, pas très longue, mais assez large, bande déjà fort. Et il y a celle d’Étienne, et d’autres queues, une ribambelle de queues. Ça va être à moi, j’attends le signal.
Étienne fait sonner la cloche et lance le chronomètre. J’ai cinq minutes devant moi. Je choisis celle qui s’est mise à bander avant le top du départ. En la regardant gonfler, j’ai tout de suite eu envie de la mettre dans ma bouche.
J’ai interdiction formelle de faire du bruit. Je dois rester absolument silencieuse, au-dessus de la table les gens discutent et mangent, comme si de rien n’était. Je m’approche donc très délicatement et une fois en face de celle que j’ai choisie, je l’attrape dans ma main et la fourre dans ma bouche. Je l’enfonce bien au fond, la ressors, la lèche en silence, et je recommence les allées et venues. Je m’applique à sucer pendant cinq minutes ce membre raide. La cloche retentit, je m’arrête immédiatement et retourne au centre de la table.
Les invités débattent, ils ont du mal à se mettre d’accord. Un homme est désigné. Perdu, ce n’était pas lui. La cloche retentit à nouveau. Je choisis une autre queue et je recommence à sucer. Cette bite est si large qu’elle tire sur mes lèvres. Au bout de quelques minutes, j’entends un gémissement. L’homme n’a pas pu se retenir. Il sait qu’il est démasqué, il sait qu’il va être éliminé. Perdu pour perdu, il attrape ma tête et m’invite à le pomper plus fort encore, je reçois son foutre en pleine bouche. La cloche sonne. Tout le monde le montre du doigt, il se lève et quitte la table. Éliminé.
Je continue mon manège et à chaque tour, ma cible ne doit pas se faire repérer pour pouvoir rester à table. Chacun doit contenir son plaisir, ce qui, bizarrement, le rend encore plus fort. La vraie question est de savoir qui sortira vainqueur.
Je décide de m’occuper d’Étienne, c’est le maître de cette cérémonie, mais ce n’est pas parce qu’il a organisé ce jeu qu’il ne doit pas y participer. Je le connais par cœur, je sais comment le rendre fou. Je lèche sa verge sur toute sa longueur et, en même temps, je regarde la queue de son voisin de table. Elle est à ma portée. Il me vient une envie irrésistible de la saisir. Je n’ai pas le droit de toucher deux personnes en même temps. C’est la règle. Et pourtant…
Pendant que j’enfonce doucement le gland d’Étienne dans ma bouche, je dirige ma main vers ce deuxième sexe qui semble si chaud, si tendu. Je le frôle, je suis à deux doigts de le toucher, de l’empoigner. Mais je sais ce qui me retient : les règles du jeu, la punition.
Alors, je fais semblant de branler cette bite pour me calmer, je m’imagine en train de le faire, mais j’agite seulement ma main autour d’elle. Pendant ce temps, je sens le corps d’Étienne qui commence à faiblir. Pourtant, je perçois sa voix, calme et posée qui explique aux invités ce qu’il a pensé du dernier film de Julia Ducournau. J’ai envie de te faire jouir Étienne, et ton voisin de table aussi. Je craque. Je prends cette bite défendue dans ma main, je sens le corps de l’homme avoir un sursaut, la cloche n’a pas sonné, je n’ai aucune raison de commencer à m’occuper de lui maintenant. Sa réaction risque de nous faire repérer, mais tant pis, je ne me contrôle plus. Je le branle bien. Je viens ajouter ma salive et ma bouche alors que j’astique maintenant Étienne. Je jongle entre ces deux queues, j’aimerais tellement les voir se vider, là sous cette table, à l’abri des regards sauf du mien.
La cloche retentit, aucun des deux n’a joui. Je les lâche et je retourne au centre de la table. Je regarde ces sexes, si rouges et si durs, qui étaient à deux doigts de dégorger leur plaisir. Ce qui me plaît dans ce jeu, c’est qu’il n’y a pas vraiment de bonnes stratégies. Soit le joueur retient son orgasme, car il a peur que celui-ci lui laisse échapper un cri ou une grimace et là, c’est perdu, soit il se laisse aller en espérant cacher ses émotions. Risqué, ça oui ! Mais ensuite, la partie est presque gagnée, car sa période réfractaire lui permet de reprendre le contrôle un bon moment.
Je tends l’oreille, je me demande comment va réagir Étienne qui a très bien compris que j’avais joué avec un autre en même temps que lui. D’ailleurs, tout le monde désigne cet homme à cause de son sursaut. Il se lève pour quitter la partie, mais Étienne lui demande de rester assis :
— Non, reste. Tu n’es pas éliminé. Léna a triché sur cette manche, c’est à cause d’elle que tu t’es fait repérer. Sors de sous la table Léna, viens ici !
Je soulève la nappe et je rejoins Étienne les yeux tournés vers le sol.
— Pourquoi as-tu branlé et sucé deux hommes en même temps ?
— J’en avais trop envie. C’était plus fort que moi.
— Tu aimes tellement la bite que tu es incapable de te retenir. Ma petite chienne.
Il se lève et m’embrasse le front en souriant. J’ai triché, mais ma soif de sexe lui plaît beaucoup, je le sais.
— Je vais t’administrer une punition à la hauteur de ta faute. Tourne-toi.
Je regarde la tablée et je souris effrontément avant de me tourner. J’adore jouer. Je me demande bien ce qu’il va me faire. Je l’entends discuter à voix basse avec les invités. C’est très troublant, un léger sentiment de peur m’anime. Mais je sais que je n’ai qu’un mot à dire pour que la séance s’arrête immédiatement. Étienne reprend la parole :
— Nous nous sommes mis d’accord. Tout le monde a voté « pour » concernant la punition : je vais t’attacher les mains dans le dos pour t’empêcher de recommencer. Autant te dire que ce ne sera pas très agréable, tu ne pourras pas t’aider de tes mains pour te déplacer ni pour le reste. Mais surtout, cela t’empêchera de branler plusieurs personnes en même temps. Tu n’auras que ta bouche. Approche, et ne bouge pas pendant que je t’attache.
Je me laisse faire, la corde se serre sur mes poignets. Le sentiment que me donne cette nouvelle contrainte est de l’excitation pure. Étienne reprend sa place et m’invite à retourner sous la table. L’entrée est terminée, le plat principal arrive.
Il avait raison, sans les mains c’est très inconfortable, je me mets en tailleur pour patienter et j’observe ces verges qui m’entourent. Je décide de choisir ma prochaine victime tandis qu’au-dessus de moi les bruits de fourchette se font entendre. Soit je m’attaque à quelqu’un qui bande fort en espérant l’achever, soit je viens déranger un sexe qui dort et qui se croit sauvé.
Son de cloche, mon choix est fait. À genoux, je me dirige vers une queue flasque. Ils ont tous les jambes légèrement écartées, c’est la règle, afin de me faciliter l’accès. J’approche ma bouche, délicatement. Sans l’aide de mes mains, c’est vraiment compliqué. Sans un bruit, je dépose des baisers, de la base jusqu’au gland, sur les cuisses et les couilles. Après les baisers, je me mets à laper comme une chatte. Je mouille la queue de salive et c’est là, sous ma langue, que je la sens qui s’anime. Elle se soulève lentement. Je réveille son désir et je trouve ce spectacle magnifique. Voir une bite en train de durcir. Mon propre sexe se mouille et je n’avais pas anticipé ce détail : je ne peux plus me caresser. Je suis sûre qu’Étienne y avait pensé. Ça m’apprendra à désobéir. Je continue de m’atteler à la tâche, en me dandinant pour que le frottement de mes cuisses caresse un peu mon clitoris. Je prends enfin la bite entièrement dans ma bouche et je ressens son soulagement. Je fais quelques va-et-vient, mais la cloche sonne déjà. Alors je l’enfonce une dernière fois le plus loin possible dans ma gorge, comme pour lui dire au revoir.
Ce monsieur a très bien contenu ses émotions. Personne ne l’a repéré. Il reste en lice. Je n’ai maintenant qu’une hâte, pouvoir y revenir. J’ai très envie d’aller au bout avec lui, je n’aurai de cesse de de le choisir tant qu’il n’aura pas joui. Les convives parlent maintenant de certaines célébrités, un rappeur que je ne connais pas. Ils n’ont pas l’air de partager les mêmes goûts. C’est marrant de les écouter débattre comme si de rien n’était.
La cloche tinte, j’y retourne. Je n’hésite pas une seconde, je reprends là où je m’étais arrêtée. Monsieur est très excité, je recommence à le sucer. J’essaie d’aspirer un peu, mais je n’ai pas le droit de faire de bruit au risque de subir une nouvelle punition. Alors je suis vigilante, je m’applique. Ma salive déborde des commissures de mes lèvres. Je la vois dégouliner jusqu’à l’assise de la chaise. Ce sexe est de plus en plus gros, au début je pouvais le mettre presque entier dans ma bouche et maintenant j’ai du mal à dépasser la moitié. Quelqu’un pose une question à ma victime et je perçois que sa voix tremble. Alors j’accélère : pour chaque perdant c’est moi qui gagne et ma récompense est dingue. Il écourte sa réponse pour éviter de se faire remarquer et rester concentré sur son plaisir.
Au son de la cloche, sa main se pose sur ma tête. Délicate, mais ferme. Je comprends qu’il est en train de venir. Alors je le suce encore un peu. Ma victime explose, par à-coups, son sperme se répand dans ma bouche et cela semble durer une éternité, mais j’en profite autant que lui, car son plaisir est aussi le mien. Une fois que j’ai tout avalé, j’embrasse sa cuisse comme pour lui signifier que son secret sera bien gardé et je retourne au centre, je reprends ma position en tailleur, les bras dans le dos. Ce jeu est en train de devenir mon préféré.
Au moment de servir le dessert, il ne reste plus que trois participants sur huit, c’est le dernier round. À la prochaine élimination, le jeu sera terminé. Il faut que j’y arrive, s’il n’y a pas encore un éliminé avant la fin du dessert, c’est moi qui perdrai.
Je regarde les trois sexes qui restent, ils sont tous durs. Il y a celui d’Étienne, celui qui a déjà joui un peu plus tôt sans se faire remarquer des autres, et un sexe que je n’ai sucé qu’une seule fois depuis le début du jeu. Cette queue était bonne, mais je n’ai pas eu l’occasion d’y retourner. C’est le moment ! Au son de la cloche, je m’approche, les mains toujours attachées et je la lèche. À ce stade du jeu, l’excitation est à son paroxysme. Les trois hommes sont au bord de l’explosion, galvanisés par l’esprit de compétition, je n’ai plus grand-chose à faire. Alors je me lance, confiante. Je salive, j’embouche, j’accélère, je ralentis. L’homme bande fort, mais il ne frémit pas un instant. Je commence à me dire que ça ne va pas être aussi simple. Je lèche le gland, les couilles, le périnée et je tente difficilement d’accéder à son anus. Si seulement j’avais mes mains pour m’aider. Ça semble lui plaire, je me rapproche de son point faible. J’aurais tant aimé lui enfoncer un doigt dans le cul pendant que je le tiens entre mes lèvres. C’est sûr que je l’aurais fait flancher comme ça !
La session se termine. Je retourne au centre de la table et je réfléchis. Il ne me reste plus beaucoup de temps pour gagner. Un ou deux tours, tout au plus. Il faut que je sois stratégique. Je pourrais reprendre avec celui que j’ai déjà fait jouir une fois, recommencer la même technique et le faire repérer. Mais il était si discret la première fois que ça me semble risqué. Étienne, je le connais bien, combien de fois a-t-il joui grâce à ma bouche ? Je ne compte plus. Je crois que c’est la meilleure solution si je veux pouvoir profiter de ma récompense.
La cloche ! Étienne ! J’ouvre grand la bouche et je fais coulisser son gland jusqu’au fond de ma gorge. Je retiens les bruits de mes réflexes œsophagiens et je recommence. Il adore ça, j’adore ça. Encore, encore, allez Étienne, viens ! Laisse-toi aller ! Je le sens frémir, je pense que son visage va le trahir, que sa voix va trembler.
C’est si bon de le manger, même s’il ne jouit pas, je crois bien que j’ai réussi à le faire remarquer. Pour la première fois depuis le début de la soirée, je ne retrouve pas son assurance légendaire, il se perd dans son plaisir, il s’enfonce, il se tend. Je sais que les convives ont senti quelque chose, car ils essaient de le faire parler, de le tester. Étienne comprend qu’il est pris au piège.
Il doit me rester une ou deux minutes, alors je me retire et j’arrête, je le frustre. Mais ça ne plait pas à monsieur. Avec son pied, il vient caresser mon corps et mes seins pour m’inviter à revenir. Comment résister à ses avances ?
Je me remets au travail, mais cette fois ce n’est plus du tout pour le jeu, c’est seulement pour nous. Je me doute que les cinq minutes se sont écoulées, mais Étienne a décidé d’en profiter encore un peu, il sait que c’est la fin du jeu. Après tout, c’est lui le maître de la soirée. Je le laisse venir, à son rythme, je reste là, la bouche grande ouverte, prête à recueillir ce qu’il a à me donner. Mes allers-retours sont réguliers, appuyés et efficaces. Avant de le sentir sur ma langue, je sens son sperme monter dans sa verge. Elle se contracte plusieurs fois et j’avale doucement, je continue de sucer quelques secondes pour le vider complètement.
Étienne actionne la cloche, une dernière fois. Ses deux comparses le dénoncent, il plaide coupable. J’ai réussi à éliminer six convives avant la fin du repas. Étienne m’invite à sortir de sous la table, m’attrape par les épaules pour m’aider à me relever et détache les cordes de mes poignets. Il me prend dans ses bras et m’embrasse pour me féliciter. Il aime quand on joue et je crois que j’aime ça encore plus que lui
— Bravo Léna ! Tu remportes la partie, dit-il en souriant.
— J’ai même réussi à t’éliminer.
— Tu es bien trop maligne. Tu connais ta récompense, alors allons rejoindre tout le monde au salon.
Nous rejoignons les perdants qui attendent la deuxième partie de la soirée. Chacun en tenue d’Adam sirote un verre qui accompagne la détente. Un fond de musique classique enrobe l’espace, je crois reconnaître Schubert. Tout est si classieux, si beau. Les corps nus sont mis en valeur, magnifiés par la situation irréelle. Pourquoi passons-nous notre temps à nous couvrir de vêtements ? Qu’est-ce que ça peut être gracieux ces peaux, ces poils, ces bourrelets, ces muscles, ces sexes ! J’aime la diversité, je n’ai jamais eu de style de mec ou de nana. Je dirais même que je ne suis pas très attirée par ceux qui sont dans une forme de beauté s’approchant de la perfection. Ce soir, il y a tous les âges, tous les styles.
Étienne me sert un gin tonic, j’en bois la moitié d’un trait pour me rincer la gorge. On discute un instant, il me dit que je suis une peste de l’avoir fait perdre ainsi. Il me dit aussi qu’il a pris un plaisir monumental et que ce n’est pas fini. Il est l’heure de profiter de ma récompense. Ces messieurs se lèvent et me cèdent la place sur le grand canapé noir. C’est à mon tour de faire tout ce que je veux.
Je m’allonge et j’observe les huit hommes plantés devant moi. Rien que de les regarder et de réfléchir à ce que je vais leur faire faire et je sens monter une vague de chaleur dans ma poitrine. La plupart ne bandent pas, mais nous allons vite relancer la machine.
Je porte mes doigts à ma bouche, je les suce et je les lèche. Quand ils sont bien humides, je descends jusqu’à mon sexe. Je me caresse lentement et je me concentre sur ce que je ressens. Je regarde ces hommes, je les désire. J’enfonce deux doigts pour aller stimuler mon point G. Ma mécanique est parfaite, je mouille vite et en abondance. Ma chatte devient chaude, elle se trempe pendant que leurs bites se lèvent. Étienne est assis dans un fauteuil et regarde le groupe de loin. Je sais qu’il aime le rôle de spectateur autant que celui d’acteur.
J’ai le droit de leur demander tout ce que je veux, alors je choisis un homme qui me sourit et qui m’excite particulièrement. J’ai envie de le soumettre, de l’utiliser. Je le pointe du doigt, il s’approche et j’ordonne :
— Lèche-moi la chatte.
Il se met en place et plonge son visage entre mes cuisses. Il n’y va pas par quatre chemins. Il est bruyant, il est vif, il me fait beaucoup de bien. Je pointe du doigt un deuxième homme très beau, dont les cheveux bruns et courts font ressortir les yeux bleus.
— Toi ! Mets-toi à genoux au pied du canapé. Et embrasse-moi, mets ta langue dans ma bouche.
Je jette un coup d’œil à Étienne, il sourit et je vois ses lèvres remuer, j’arrive à déchiffrer un « Je t’aime ». Je l’aime aussi.
Les deux langues qui m’envahissent, une dans ma chatte, une dans ma bouche, font monter en moi un sentiment de pouvoir, de puissance. Certains hommes ont commencé à se branler en nous regardant. Ils sont beaux et excitants.
Repue de leurs manœuvres, je demande à ces deux langues de s’éloigner et je change de partenaire, tant qu’à pouvoir faire tout ce que je veux, autant m’amuser.
— Toi ! Approche. Prends une capote sur la table. Encule-moi !
Je vois son regard s’enflammer. Je ne suis pas peu fière de mon petit effet. Je me mets à quatre pattes, je lui tends mon cul affamé. Il prend son temps pour me détendre avec ses doigts puis avec son gland et il s’introduit doucement. Il reste quelques instants immobile à moitié enfoncé en moi, étale du lubrifiant puis m’embroche entièrement d’un coup sec. Cette fois ça y est, je sens que c’est bon. Il entame des va-et-vient puissants. Je gémis de plaisir à chacun de ses coups de reins et certains hommes se rapprochent pour voir cela de plus près. Étienne leur demande de garder leur distance tant que je n’ai rien demandé, alors ils font un pas en arrière et ils respectent les règles. Je les regarde s’astiquer pendant que cette queue me remplit le cul. Cette situation est merveilleuse, intense, complètement dingue. J’en veux encore. J’en veux plus. Je demande à Étienne de venir et de s’assoir sur le canapé tandis que l’homme qui me labourait se retire.
Bien installé dans le canapé, son sexe dressé par le spectacle qu’il vient de voir, il caresse ma joue. Je m’empale sur lui en retour. Il m’embrasse et fait coulisser sa queue en moi comme pour montrer à tout le monde comment il faut me prendre. Après quelques minutes, il attrape mes fesses, il les écarte et je demande à mon enculeur de revenir par-derrière. C’est plus compliqué, c’est plus serré, il faut de la place pour deux et la position n’a rien de très pratique. Mais sentir une deuxième queue entrer en moi me fait tourner la tête. Je ne sais plus qui je suis. Je ne suis plus que plaisir. Un plaisir qui dépasse l’entendement. Ils se mettent en mouvement à tour de rôle, un dans mon cul, l’autre dans ma chatte. Ils grognent, je crie. Ce sentiment d’être remplie me transporte.
Dans les convulsions de ma jouissance, dans cette frénésie qui nous agite tous les trois, sous les yeux d’une assistance d’hommes en train de se branler, je ne peux m’empêcher de penser que j’ai hâte de découvrir le prochain jeu imaginé par Étienne.