Celui qui prend

On rentre dans la chambre, nouvelle pièce, nouveaux rôles, nouveaux jeux, nouveaux jouets. Je suis nue, toi pas, alors je te demande de te déshabiller. Tu enlèves tous tes vêtements, un à un. Je regarde ton sexe flaccide, il est beau. Aussi beau qu’en érection. Je pense qu’on ne parle pas assez de la beauté d’un sexe, même au repos. J’ai toujours trouvé ta bite magnifique, je te le dis et tu me souris, tu sais que je le pense vraiment tant je réclame souvent de la voir en photo.

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