Celui qui prend

Aperçu

Film réalisé par @blueborealmoon

Arnaud

[Attention, il s’agit d’un récit à caractère érotique et pornographique impliquant des scènes de domination, de contrainte et de violence. Ce récit peut heurter le jeune public ou les personnes sensibles.]

On rentre dans la chambre, nouvelle pièce, nouveaux rôles, nouveaux jeux, nouveaux jouets. Je suis nue, toi pas, alors je te demande de te déshabiller. Tu enlèves tous tes vêtements, un à un. Je regarde ton sexe flaccide, il est beau. Aussi beau qu’en érection. Je pense qu’on ne parle pas assez de la beauté d’un sexe, même au repos. J’ai toujours trouvé ta bite magnifique, je te le dis et tu me souris, tu sais que je le pense vraiment tant je réclame souvent de la voir en photo.

Entre nous, il a toujours été question de tester nos limites. On veut savoir de quoi on est capable même si c’est dangereux. On veut essayer, on veut découvrir.

Je te fais allonger sur le dos, je te fais plier les jambes les pieds bien à plat sur le matelas.
- Écarte un peu plus s’il te plait.
- Comme ça ?
- Oui, parfait.

Il y a un côté procédurier dans nos jeux sexuels. On suit toujours un scénario que nous nous sommes inventé au préalable. Du coup, cela manque parfois de naturel mais ça ne nous empêche pas de profiter.

Je prends un bandeau et je le serre du mieux que je peux sur tes yeux. Je le fais plus pour moi que pour toi, je ne veux pas que tu me vois faire. Je ne veux pas que tu me vois prendre du plaisir à faire ce que je m’apprête à faire. Je ne suis pas encore assez à l’aise pour cela. Pour asseoir un peu plus ma domination, je prends un foulard qui traîne dans la chambre et je lie tes poignets du plus fort que je peux.

Voilà tu es prêt.


J’attrape le lubrifiant et je le fais couler généreusement dans mes mains. Je le répartis sur mes paumes et puis je commence mon massage. Je recouvre ton sexe de ce liquide gluant, j’en mets partout, sur tes couilles et je descends entre tes fesses pour enduire ton anus. Je regarde ta queue qui commence à se tendre, tout doucement. Je le répète encore mais… Qu’est-ce que c’est beau.

Je prends mon temps et je masse toute la zone. Je remonte sur ton périnée et j’attrape bien tes testicules de ma main droite quand ma main gauche commence à jouer de quelques va et vient sur ta verge. Tu gémis et je peux maintenant dire que tu es très dur. Je continue de te branler et dans le même temps je redescends sur ton trou, je le masse doucement. Tu as l’air détendu alors je presse mon index, avec une grande délicatesse et je rentre dans ton cul sans jamais m’arrêter de te masturber. Je rentre et je sors mon doigt. À la recherche de ta prostate, je me concentre pour te faire du bien et je me surprends à prendre un immense plaisir à te pénétrer.

J’attrape un plug de bonne taille pour remplacer mon doigt et je l’enfonce. Je ne veux pas te faire mal mais il semblerait que tu sois bien prêt à le recevoir tant il glisse aisément à l’intérieur de toi.

Je me lève pour regarder mon œuvre. C’est parfait. Maintenant je vais t’utiliser.

Je prends un préservatif, je viens le dérouler sur ton sexe qui grossit d’autant plus qu’il sait maintenant que je vais le baiser. Je monte sur toi, je te mets bien au chaud dans ma chatte et tu pousses un râle de satisfaction.

J'attrape ta gorge de mes deux mains et je serre fort au rythme de mes coups de reins qui te prennent. Tu me demandes de serrer plus fort, je te gifle pour t’assener que ce n’est pas toi qui décide. Je serre maintenant tellement fort que tu libères des bruits de détresse venant de ta gorge. Je n’ai jamais baiser quelqu’un comme cela, je bouge si fort et si vite que le lit en devient bruyant lui aussi. Je sens bien ton pieu qui me transperce et dans le même temps mon clitoris qui se frotte contre toi.

C’est intense et violent, c’est nous.

Au bout de quelques instants, tu lèves tes bras entravés et tu viens tapoter le haut de mon épaule du bout de ton index. Je desserre ta gorge en réponse, c’est trop pour toi. Ce safe geste nous permet de jouer en sécurité, et de tout arrêter quand celui-ci est utilisé. Nous avons aussi un safe word, primordial dans un jeu si violent qu’est le nôtre.

- Ça va ?
- Oui, c’est bon, tu peux reprendre.
- Tu es sûr ?
- Oui. Continue, s’il te plait.

Tes mots ont des allures de supplication malgré qu’on ait flirté avec tes limites. Alors je garde le rythme, et je t’utilise jusqu’au bout. Je tiens toujours ta gorge dans mes mains mais je ne la serre plus aussi fort, tu as besoin de répit.

Je me frotte sur toi jusqu’à me faire jouir, je suis très sonore et tu as dû sentir ta queue être bien serrée par mon orgasme. Putain que c’est bon. Je me retire et je m'assois au bord du lit. Je reprends ma respiration. Tu es toujours attaché, ta queue bien tendue, je l’attrape et je la branle avec un entrain qui ne te laissera pas d’autre choix que de gicler pour moi.

(°)

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