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le Cocon de lectures érotiques
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Sans visage
Quelqu’un sonne à la porte, Julie m’abandonne et je me retrouve donc seule, avec mon verre à moitié vide. Je me sens bête. Soit je finis mon verre cul sec, comme ça je me lève pour le reremplir, ça me donnera une contenance. Soit je vais aborder quelqu’un. Je regarde la pièce, je regarde mon verre. Je lève le coude, va pour le cul sec ! Je me lève et je tombe nez à nez avec… quelqu’un.
Dans ma tête quand tu me lèches
Mes pensées ont la force de mes émotions, crues et violentes, obscènes et puissantes.
Lèche-moi. Plonge ta tête entre mes cuisses, oui comme ça. Tu avais faim, c’est pas possible, calme-toi. Tu lèches au bord, tu me nettoies. Ça m'excite, continue, ne t’arrête pas.
Rendez-vous à la piscine
- Tu te rappelles, il y a 4 ans, au bord de cette même piscine ?
- Tu me demandes vraiment si je m’en rappelle ?
- Oui, je te demande si tu t’en rappelles.
- T’abuses Léna. Me demander ça…
- Ben quoi ?
- Ben évidemment que je m’en rappelle. Je m’en rappelle comme si c’était hier en fait.
- Moi aussi…
- Je revois la scène là.
- Je me doute que tu revois la scène… Julien… tu bandes.
J’ai rêvé que…
J’ai envie de me lever et de m’assoir à côté de lui, simplement, sans rien dire, comme une évidence. Mais je n’ose pas. Je me sens impressionnée par sa prestance et son assurance. Je ne peux pas m’empêcher de me dire que c’est moi qui divague, qui m’imagine des choses. Possiblement, il pense que je suis folle, à me retourner toutes les cinq minutes sans suivre le film et c’est cela qui le fait sourire.
Je me trompe, quand il se lève sous mes yeux, je me trompe, quand il me fait un signe de venir, je le sais, je me trompe
Clémence - En route !
Tous les mardis soirs, ils ont une heure, rien que pour eux. Elle passe le récupérer à 17h00 au coin de la rue, à la sortie de son travail. Il sait qu’elle arrive quand il entend le moteur vrombir. Il n’y connait rien aux motos et à la mécanique, pourtant, il reconnaîtrait ce bruit parmi mille. Tous les mardis soirs, ils ont une heure, rien que pour eux. Elle passe le récupérer à 17h00 au coin de la rue, à la sortie de son travail. Il sait qu’elle arrive quand il entend le moteur vrombir. Il n’y connait rien aux motos et à la mécanique, pourtant, il reconnaîtrait ce bruit parmi mille.
Il faut que je te raconte la soirée d’hier
Il faut que je te raconte la soirée d’hier.
Une histoire audio immersive et palpitante !
Celui qui m’accompagne
Mais il fallait que je le fasse, là maintenant, tout de suite. Une envie irrépressible de jouir. J'ai posé le livre sur la table basse, j'entendais l'eau de sa douche couler dans la pièce d'à côté. Je me suis dit "j'ai le temps".
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.
En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, il jouit.
Monsieur Basson. Partie II
Je me trouve machiavélique. Le premier rendez-vous avec Monsieur Basson, c’était il y a trois semaines. Et ça m’obsède. Je n’arrive pas à me le sortir de la tête. Sa main qui sert la mienne, les secondes qui passent. La porte qui se claque derrière lui. Je sais qu’il en avait envie. Mais il est parti
Dix sept minutes et douze secondes
Je me suis allongée, toute habillée, comme si j'allais garder mes vêtements, peut-être un peu, finalement. Tout dépendra du temps.
Monsieur Basson. Partie I
Si monsieur Basson n'est pas avare en mots, il n'est pas avare en sourires non plus. Ses lèvres tendues dévoilent une belle dentition et accentuent ses rides. Il est pas mal pour un vieux. Quelle insolence... Heureusement qu'il ne peut pas lire dans mon esprit. La vieillesse c'est subjectif. Quand on vieillit c'est juste physique, pour le reste, c'est dans la tête.
Je rêve que j’ai un sexe d’homme
Je rêve que j'ai un sexe d'homme. C'est très intime mais pourtant, je dois l'avouer, j'en rêve souvent.
Ceux qui aimaient écrire
Voici les 3 finalistes de la première édition du concours d’écriture érotique “Ceux qui aimaient écrire”.
La colocation
Il faut que je te parle. Notre collocation n’est pas comme les autres. Je n’ai malheureusement pas le temps de t’expliquer comment on en est arrivés là mais… On a un jeu, bien à nous.
Celui qui jouait
Sur les toits de Paris et pas dans ton salon.
Nous bravons l’interdit pour vivre notre passion.
Sur les toits de Paris, nous dansons tous les deux.
Une danse d’aujourd’hui au plaisir contagieux.
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